En l'absence tant de bus que de pedibus.
Ils pourraient :
- développer encore plus l'offre de transports publics pour les écolières et les écoliers (surtout celles et ceux qui ne sont pas encore au cycle d'orientation),
- développer encore plus la collaboration entre les transports publics et les écoles diverses pour réduire le recours à la voiture (y compris le covoiturage),
- prolonger la ligne de métro jusqu'à Épalinges.